Ali Malek est né en 1968 en Algérie (Kabylie). Il a publié aux éditions barzakh plusieurs textes dont Les chemins qui remontent (2003) et Une année sans guerre (2010).
Les chemins qui remontent
Dans une bourgade de Kabylie, Saïd est chauf-feur de taxi, célibataire et vit encore chez ses parents. Sa voiture tombe en panne, et commence alors pour lui une drôle d’errance, à pied ou dans la 405 de son ami Mohand, entre les bars des environs, une liaison passionnée avec la belle Chabha, et les joints qu’entre copains on se passe sous un olivier sauvage.
Le chien de Titanic
Titanic est ce bourg de Kabylie « si fréquemment inondé par le passé qu’il y a laissé son toponyme inspiré d’un saint aïeul pour ce sobriquet de cinéma ».
Le village est en émoi : le fils Ouara, l’ancien terroriste, est de retour. Tous le guettent, surtout Omar, dévoré par le désir de venger son père assassiné durant les années noires.
Une journée dans la vie d'un bourg de Kabylie. Une journée ordinaire parmi d'autres, sauf que, sur la montagne d'en face, un feu s'est déclaré.