Né en 1968, Samir Toumi vit et travaille à Alger où il dirige une entreprise de conseil. Alger, le cri est son premier livre.
« Je cherche le cri » annonce d’emblée la voix. Une voix qui se confie, enfle, s’enroule en spirales. Hypnotique, elle dit « je », parle d’Alger, sa passion, entre amour et haine.
Le jour de ses 44 ans, le narrateur ne voit plus son reflet dans le miroir. Il découvre alors qu'il est atteint du "syndrome de l'effacement", mal étrange qui semble frapper exclusivement les fils d'anciens combattants de la guerre de Libération.
"Je cherche le cri" annonce d'emblée la voix. Une voix qui se confie, enfle, s'enroule en spirales. Hypnotique, elle dit "je", parle d'Alger, sa pasion, entre amour et haine.