De mai 2006 à décembre 2008, se sont déroulées deux formations destinées aux professionnels de l’aide, du soin et de l’éducation de Tizi Ouzou et de sa région – ces personnes clés de la société civile confrontées, dans leur pratique, à la détresse des familles.
Trop de ruptures sont intervenues dans les théories et les pratiques de l’urbanisme et la réflexion doit être reprise à la base.
Passé les réactions vives et indignées qu’a suscitées chez les africains le discours de Nicolas Sarkozy prononcé à Dakar le 26 juillet 2007, ses déclarations sur l’immobilisme du continent africain ou encore la non-responsabilité de la France dans ses problèmes actuels nécessitaient une réponse argumentée, dépouillée de toute considération émotive.
« L’on retrouve un arabe imaginaire, le soliloque d’un écrivain, un fou d’aviation tel un prophète abandonné, un athlète à bout de souffle, tous personnages qui ont commun d’avoir perdu leurs rêves et qui, pourtant, poursuivent leur quête désespérée.
« Comment dire ce qui – définitivement – n’est plus ? » semble s’interroger Malek Alloula. Dans ce recueil à l’écriture élégante, sobre, il rejoue quelques-unes des «scènes primitives » de sa vie, à Oran et ailleurs, comme on jette les dès : son père, son instituteur, un gargotier et d’autres personnages savoureux surgissent alors.
Cet ouvrage rassemble toutes les chroniques publiées par Jean-Jacques Deluz dans l’hebdomadaire « Les Débats » durant l’année 2007. A partir de son expérience d’architecte et d’urbaniste, et puisant dans sa large culture, l’auteur énumère tous les maux qui, aujourd’hui, rongent l’art de bâtir en Algérie.
Alger, les années 2000 l’hiver. Un jeune homme disparaît. « Pour régler une dette », Djo, commissaire à la retraite — forte tête, solitaire — reprend du service, réactive ses réseaux et se lance à sa recherche.
Pendant 132 ans, et après plus de 40 and d’opérations de pacification, MADAME LAFRANCE s’est installée sur « ses » terres, pour y dispenser ses lumières et y répandre la civilisation, au nom du droit et du devoir des « races supérieures ».
Alger blessée, Alger renaît. Tandis que la décennie noire s’éloigne, une nouvelle société émerge, tentant d’oublier la terreur, sans renoncer à la justice, réussissant à se réapproprier un passé douloureux et glorieux, tournée résolument vers un avenir qu’elle espère radieux.
« NOUS NE SOMMES PAS dans une "guerre de civilisations", nous sommes dans une déchirure interne de la civilisation unique qui civilise et barbarise le monde du même mouvement, car elle a déjà touché à l’extrémité de sa propre logique : elle a remis le monde entièrement à lui-même et à son secret sans dieu et sans valeur marchande.